Dans "l'homme sans tête,
j'ai aimé l'histoire d'amour entre cette femme et cet homme
sans tête qui a voulu changer d'apparence mais qui, heureusement,
en restant lui même - un homme sans tête a conquis le
coeur de la belle demoiselle.
Le film "les treize figures de Beauchesne
au 71 rue Blanche" Sarah m'a impressionné par sa souplesse
et aussi par la surface sur laquelle elle évoluait : une table.
On n'image pas qu'une femme soit capable de faire toutes ces figures,
elle a été au-delà des
apparences.
Dans "the bloody olive", on ne sait pas qui est avec qui, qui
va mourir ni quand ni pourquoi ils s'entretuent. On peut donc dire que
ce film montre comment se servir des apparences.
Dans "la vieille dame et les pigeons", les apparences
sont trompeuses car un gardien pauvre se déguise en pigeon pour manger
et la vieille dame est en fait méchante.
Dans "les possibilités du dialogue" et "six drummers" on
découvre une nouvelle fonction artistique des objets que tout
le monde a chez soi. Comme quoi on peut
faire de bonnes choses avec presque rien! Alexandre, 4A
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